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Absence de crainte        Vô úy    Fearlessness    無畏    Vaiśāradya, Abhaya
Ne pas avoir peur de quoi que ce soit. La non-peur décrit l'état dans lequel les Bouddhas et les Bodhisattvas enseignent le Dharma, en ayant pleinement confiance, ne craignant jamais rien, restant fermes et paisibles.

adepte en blanc,        Bạch y    White clothing    白衣    avadāta-vasana
Pratiquant du bouddhisme qui n'a pas prononcé de voeux religieux. Au temps de Shakyamuni les habits blancs étaient généralement portés par des laïcs alors que les moines avaient des robes de couleur foncée.

Ainsi ai-je entendu        Như thị ngã văn    Thus have I heard    如是我聞    Evaṁ mayā srutam
Formule par laquelle commencent les sutras qui, d'après la tradition, ont été récités par Ananda lors du premier concile.

ami de bien         Thiện tri thức    good and virtuous friend    善知識    Kalyāṇa-mitra
Personne qui transmet l'enseignement correct et conduit vers la pratique bouddhique. Au sens plus large, il peut s'agir d'un événement ou d'un texte qui remplit la même fonction. A l'opposé, le akuchiki (ami néfaste) est celui qui fait obstacle à l'atteinte de la boddhéité.

ami néfaste ou ami du mal        Ác tri thức    good and virtuous friend    悪知識    pāpa-mitra
Personne qui transmet l'enseignement correct et conduit vers la pratique bouddhique. Au sens plus large, il peut s'agir d'un événement ou d'un texte qui remplit la même fonction. A l'opposé, le akuchiki (ami néfaste) est celui qui fait obstacle à l'atteinte de la boddhéité.

Ananda        A nan (đà)    Ananda    阿難    Ānanda
Était le cousin et l’un des principaux disciples du Bouddha dont il fut l’assistant personnel pendant vingt-cinq ans. A ce titre, il est celui qui recueillit le plus de paroles de Gautama, et fut requis à sa mort pour réciter le Sutta Pikata afin que le souvenir ne s’en perde pas.

Anna Kondanna        Kiều Trần Như        憍陳如    Ājñāta-kauṇḍinya
Ajnata Kaundiya ou Kaundinya ou Anna Kondanna. (Vaisseau de feu, Anyakyojinnyo, 阿若a陳如, Aruo qiaochenru). Un des cinq ascètes qui entendirent le Premier sermon du Bouddha et se convertirent à son enseignement. Né dans une famille de brahmanes de Kapilavastu, dans le nord de l'Inde. Il fut d'abord disciple du brahmane Udraka Ramaputra qui pratiquait les rituels d'adoration du feu. Le feu était alors considéré en tant que consommation de toute chose, purification tout ce qui est né ou produit, y compris les désirs et la détresse émotionnelle. Kaundinya accompagna, sur ordre du roi Shuddhodana, Shakyamuni lorsque celui-ci renonça au monde et pratiqua l'ascèse avec lui. Cependant, lorsque Shakyamuni abandonna ses pratiques ascétiques, Kaundinya le quitta et se rendit au Parc des Daims. C'est là qu'ils se rencontrèrent à nouveau lorsque Shakyamuni eut atteint l'état de bouddha. Kaundinya se convertit alors à son enseignement. Le chapitre VIII du Sutra du Lotus prédit qu'il deviendra dans l'avenir un bouddha nommé Fumyo (Lumière universelle). La légende du Roi Kali raconte sa rencontre avec Shakyamuni dans une vie antérieure.

Antidote        Đối trị    Antidote     對治    Pratipakṣa
Au sens d'origine, ce terme exprime la négation, l'arrêt.
Dans le Bouddhisme, l'antidote indique le fait d'utiliser la Voie pour éradiquer les facteurs perturbateurs de l'esprit, avec la Voie en tant que sujet de l'antidote et les facteurs perturbateurs de l'esprit, son objet.
Le Kosa-Sastra énonce quatre types d'antidote:
1. Par le regard profond sur l'impureté: Utiliser la méthode de contemplation sur l'impureté pour remédier à l'esprit de convoitise, pour se dégoûter de la souffrance...
2. L'antidote par l'éradication: Méditer sur l'enseignement des Quatre Nobles Vérités pour éradiquer les souillures de l'esprit.
3. Par l'investigation des dharma: Utiliser le facteur d'éveil d'investigation (le premier des 7 facteurs d'éveil) pour choisir une matière de pratique conformée à l'authentique dharma et à la vérité afin de maintenir la suppression des souillures de l'esprit.
4. L'antidote par la séparation: Continuer de méditer sur l'enseignement des Quatre Nobles Vérités afin de s'éloigner des facteurs mentaux perturbateurs déjà éradiqués.
Selon le Mahaprajnaparamita-Sastra, dans la partie exposant les Quatre Enseignements, celui de l'Antidote est: Contempler l'impureté pour remédier à la convoitise, contempler la compassion pour porter remède à l'aversion, la colère, contempler les causes et conditions pour remédier à l'ignorance.
En gros, l'enseignement du Bouddha sert à remédier aux états psychologiques perturbés et en souffrance, à conduire les êtres vivants vers l'éveil et la libération.

Arbre de la Bodhi        Bồ đề thụ    Bodhi tree    菩提樹    bodhi druma
Arbre de la Bodhi (Ficus religiosa) sous lequel Gautama atteignit l'éveil

Aspect de la pure ainsité         Đệ nhất nghĩa đế    Absolute truth    第一義諦    paramārtha-satya
aspect de la pure ainsité (jissoshin nyo, 實相眞如). Concept élaboré par Zhiyi pour qui la réalité apparaît sous une triple évidence harmonieuse (enzoku santai) : évidence de la vacuité, kutai, évidence de la temporalité ketai, et évidence du milieu chutai. Plusieurs concepts caractéristiques de la pensée indienne sous-tendent cette vision de l'univers. L'observation de l'univers met en évidence l'impermanence de tous les phénomènes. La vie, telle que nous la percevons est indissolublement liée au temps et au changement incessant. Il en découle la notion de la non-existence d'une nature propre (entité immuable). Et à l'inverse est mise en évidence la production conditionnée, enchaînement de causes créant des effets qui sont eux-mêmes des causes de nouveaux effets. Par ailleurs, alors que l'Occident cherche l'absolu dans une transcendance, un Dieu créateur, l'Orient, refuse toute idée d'un commencement absolu, d'une création du monde. S'il y a un Dieu, qui l'a créé ? S'il s'est créé tout seul cela signifie que l'univers aussi peut se créer tout seul. C'est le principe de l'immanence. Les querelles de la scolastiques occidentale qui cherchent à définir transcendance et immanence et à les opposer sont étrangères au Mahayana : les choses existent "par elles-mêmes". Mais en même temps elles n'existent pas "en elles-mêmes" mais seulement dans une relation interdépendante. Dire d'un fait qu'il est "tathata", "ainsi" c'est affirmer qu'il n'a pas été créé par un être transcendant. Le Dharma est "ainsi", le véritable aspect des phénomènes est "ainsi", le principe de causalité est "ainsi". Le Bouddha est l'Ainsi-Venu, nul ne l'a envoyé. La pure ou parfaite ainsité (nyonyo, 如如, tathata) est le monde tel qu'il est vécu par les bouddhas qui, tout en étant dans le monde, le perçoivent comme a-temporel et en dehors des catégories duelles : bien/mal, vie/mort, etc.

Attachement, Désir        Ái dục    Attachment, Desire    愛欲    Tṛṣṇā, toṣayati, priya
Le désir ardent ou le désir excessif ou inconvenant

Bienfaiteur des nécessiteux        Cấp cô độc    Anathapindika    給孤獨    Anàthapindika
Vivait dans la cité Shravasti, que l'on disait l'un des hommes les plus riches du royaume de Kosala. Réputé pour sa compassion et sa piété et appelé pour cela Anathapindika (celui qui donne aux nécessiteux). Il se convertit au bouddhisme en entendant Shakyamuni prêcher au monastère du Bois de Bambous à Rajagriha. Il décida d'inviter Shakyamuni à Shravasti et, avec l'aide du prince Jetri, fit construire, pour le lui offrir, le monastère Jetavanaqui devint un centre important où le Bouddha dispensa son enseignement.

boddhéité        Bồ đề    perfect wisdom    菩提    Bodhi
boddhéité ou état de bouddha ou état d'éveillé (bodai 菩提, bukkai 仏界, bodhi). Etat propre au 10e des 10 mondes. Il ne s'agit pas de sainteté au sens occidental. C'est encore moins un état surnaturel, bien qu'un glissement dans ce sens ait été observé dans nombre d'écoles bouddhiques. Dans l'optique du Sutra du Lotus, c'est un état inhérent à toute vie et que la pratique bouddhique permet de développer. Comme tous les autres états (voir les dix mondes), il contient les 9 autres : la souffrance, le désir, la colère, etc. mais ayant purifié ses racines, le bouddha est maître de ses émotions. La boddhéité, c'est également la compréhension profonde de la réalité de la vie, de la non-substantialité et de l'impermanence. Lorsqu'on parle d'atteindre la boddhéité dans cette vie (issho jobutsu), il ne s'agit nullement d'un statut permanent mais d'un état de vie où prédominent les caractéristiques propres au bouddha. Cet état est aussi fluctuant que les 9 autres.


Boddhi Dharma        Bồ Đề Đạt Ma    Bodhidharma    菩提達磨    Bodhidharma
Moine bouddhiste probablement originaire du sud de l'Inde, est considéré comme le fondateur en Chine de l'école Chán /Tch’an (禪), courant contemplatif (dhyāna) du mahāyāna. Bodhidharma est considéré comme le 28e patriarche et comme le premier patriarche chinois.

Bodhisattva        Bồ tát    Bodhisattva    菩薩    Bodhisattva
Celui qui pratique avec le vœu de devenir un Bouddha afin de libérer tous les êtres de la souffrance en les amenant à l'Éveil.

Bodhisattva Avaloskiteshvara        Bồ Tát Quán Thế Âm    Avalokitesvara Bodhisattva     觀世音菩薩    Avalokiteśvara Bodhisattva
Le Bodhisattva Avalokiteshvara a la qualité de grande compassion, aimant tous les êtres comme une mère aime son enfant unique. Il est toujours à l’écoute des appels de détresse venant des endroits malheureux pour aller porter secours aux gens.
Selon le soutra du Lotus, il peut s’incarner sous 33 apparences, depuis Bouddha jusqu’à simple homme ou femme. Il utilise sans peur 14 forces pour sauver les êtres des fléaux ou répondre aux sollicitations légitimes des gens qui implorent son nom.
D’après le soutra Surangama, ce Bodhisattva possède le don de percevoir les 5 sens par son oreille. Ainsi il peut s’incarner sous différentes formes pour sauver les êtres surtout dans des situations où il y a le feu, l’eau, les diables féroces et armés.

Bodhisattva Ksitigarbha        Bồ Tát Địa Tạng    Ksitigarbha Bodhisattva    地藏菩薩    Kṣitigarbha Bodhisattva
Est l'un des huit grands bodhisattvas. Son vœu est de devenir bouddha une fois l'enfer complètement vide ; il est chargé de sauver les êtres de la souffrance pendant la longue période allant du parinirvāna du bouddha Shākyamuni jusqu’à l’arrivée du futur bouddha Maitreya.
Selon les livres sacrés, le Bodhisattva Ksitigarbha a reçu du Bouddha la mission d’éduquer, de secourir tous les êtres sensibles des six mondes, dans la période qui suit l’atteinte du Nirvana du Bouddha et avant que Maitreya ne devienne Bouddha, avec ce vœu : “Tant qu’il y a des gens malheureux en enfer je ne deviendrai pas Bouddha, je n’atteindrai le bodhi que quand j’aurai sauvé tout le monde”. C’est pour cela qu’il est surnommé le Bodhisattva au Grand Vœu.
Le bodhisattva apparaît dans le monde de Saha sous différentes formes pour secourir les êtres sensibles. Cependant on le connaît la plupart du temps comme un moine à l’aspect solennel avec un bâton à la main droite et une brillante pierre précieuse à la main gauche, la tête revêtue d’un nimbe, debout ou assis sur un lion sacré. Le lion sacré connaît tout de la terre et du ciel dès son apparition sur terre. Le Bodhisattva sur le lion sacré montre qu’il a acquis la sérénité de l’esprit et dominé les méthodes contemplatives.

Bodhisattva Mahasthamaprapta        Đại Thế Chí Bồ Tát         大勢至菩薩    Mahā-sthāma-prāpta
Mahasthamaprapta , littéralement « arrivée d'une grande puissance », (sk. Mahāsthāmaprāpta, ch: Dàshìzhì 大勢至; ou dàshìzhì púsà 大勢至菩薩, jp: Seishi 勢至), est un grand bodhisattva du Paradis Occidental de la Béatitude (sk. Sukhāvatī. ch. Xīfāng jílè shìjiè 西方極樂世界). Il aide le bouddha Amitābha à accueillir tous ceux qui ont rempli les conditions pour aller dans ce paradis merveilleux admiré et loué par les bouddhas de toutes les directions. L'école de la Terre Pure le vénère avec Amitābha et le grand bodhisattva Avalokiteśvara comme l'un des Trois Saints de l'ouest (ch. Xīfāng sānshèng 西方三聖). Il est présenté comme l'acolyte de droite d'Amitābha et représente le pouvoir de la sagesse, tandis qu'Avalokiteśvara est l'acolyte de gauche et représente la grande compassion.

Ayant réussi à arriver à la dixième terre de bodhisattva en concentrant son esprit sur le bouddha Amitābha et en récitant son nom, il est considéré comme le premier patriarche de l'école de la Terre pure. Comme Avalokiteśvara, il est souvent représenté dans le bouddhisme chinois sous forme féminine.

Son association avec Amitābha et Avalokiteśvara se base sur les textes suivants:

Canon de l’école de la Terre Pure : Le grand Sūtra de la Vie-Infinie, (sk. Mahāyāna Amitāyus sūtra, ch. Dàchéng wúliàngshòu jīng 《大乘無量壽經》), Sūtra des contemplations, (sk. Vipaśyana Amitāyus sūtra, ch. Guān wúliàngshòu jīng 《觀無量壽經》).
Sūtra Shurangama, (ch. Léngyán jīng 《楞嚴經》), dans ce soutra, ce grand bodhisattva relate qu'il est parvenu à l’illumination grâce à la récitation constante du nom du bouddha Amitābha ou de la formule Nāmo Amitābhāya en concentrant son esprit sur ce bouddha.
Sūtra de la grande compassion dans lequel le futur Amitābha est un roi protecteur du dharma dont les quatre fils sont Avalokiteśvara, Mahāsthāmaprāpta, Mañjuśrī et Samantabhadra. Lorsqu’il accède à l’état de bouddha, ses deux fils aînés deviennent ses acolytes.
Mahāsthāmaprāpta est aussi l’un des Treize bouddhas de l’école japonaise Shingon où il apparaît dans le mandala du monde de la matrice. Le fondateur de la branche japonaise de cette école, Honen Shonin, est parfois considéré comme son incarnation.

Par ailleurs, le Sutra du Lotus le compte au nombre de ceux qui s'assemblèrent sur le Pic du Vautour pour écouter le prêche de Shākyamouni. Le Gautama Bouddha lui dédie le chapitre XX qui illustre l'étendue de la compassion. Le Commentaire du Sūtra du Lotus rédigé par Guàndǐng 灌頂(561-632), patriarche du courant Tiantai, compare Avalokiteśvara au Soleil et Mahāsthāmaprāpta à la Lune.
(source Wikipédia)

Bodhisattva Manjushri         Bồ Tát Văn Thù Sư Lợi        文殊師利    Mañjuśrī
Le nom du Bodhisattva Manjushri a pour significations Bienfait admirable, Bonté admirable, Bonheur admirable, Digne disciple du Dharma.

Dans la tradition du Bouddhisme du Grand Véhicule (Mahāyāna), le Bodhisattva incarne l’esprit. Il est souvent représenté sur le dos d’un lion vert, tenant à la main droite une épée tranchante, à la main gauche une fleur de lotus verte ou le Soutra de la Sagesse ou encore la Perle de l’Esprit. Il brandit au-dessus de sa tête une épée de feu qui est l’arme spirituelle pour briser les chaînes de l’ignorance et de l’affliction qui lient les humains aux douleurs et malheurs du cycle de la réincarnation sans fin, pour les emmener vers la Spiritualité parfaite.

La fleur de lotus dans sa main gauche représente la qualité lavée de toute affliction et cela signifie que le Bodhisattva dans l’esprit de compassion vient au monde pour sauver les êtres humains sans être sali par les impuretés de la vie, gardant ainsi toute sa sérénité. S’il tient le Soutra de la Sagesse, il représente l’esprit d’éveil. Le lion est le symbole de la force de l’esprit – c’est le roi des animaux à la force immense qui terrorise les autres animaux par son rugissement – le Bodhisattva a acquis l’esprit parfait et par sa bonne parole peut détruire toutes les mauvaises influences.

Le Bodhisattva Manjushri incarne l’atteinte de l’éveil par les voies de l’esprit.

Bodhisattva Samantabhadra        Bồ Tát Phổ Hiền        普賢菩薩    Samantabhadra Bodhisattva
Le Bodhisattva Samantabhadra a le grand vœu, consistant à faire toutes les bonnes actions nécessaires pour apporter le bonheur et l’atteinte de l’éveil aux gens. Le vœu consiste aussi à atteindre l’éveil et secourir les gens. Ainsi tous ceux qui font le vœu de faire les bonnes actions et d’aider les autres à atteindre la rive de l’éveil sont appelés Bodhisattvas Samantabhadra.

L’image du Bodhisattva sur le dos d’un éléphant blanc représente le vœu ardent. Parmi les animaux dotés d’une force pour le transport, l’éléphant est le plus fort de tous. Il peut transporter les hommes et les animaux d’un endroit à un autre. Le Bodhisattva Samantabhadra en fait de même, il fait le grand vœu de secourir les êtres humains, en les transportant de la rive de l’ignorance vers le bord de l’éveil. L’éléphant blanc signifie aussi que le Bodhisattva, bien qu’il soit dans le monde plein d’impuretés pour secourir les êtres, n’est nullement sali et garde l’esprit pur. Les 6 défenses d’éléphant représentent les 6 moyens, les 6 pratiques des Bodhisattvas pour atteindre l’éveil (les six Paramitas).


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